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Aides au Joueur

Qu'est ce que le jeu de rôle? ~ Comment faire des bons posts? ~ Orthographe d'usage

Qu'est ce que le jeu de rôle?

JDR=Jeu de Rôle ou RP=Rôle Play, en anglais, veut dire Jouer un Rôle. C'est-à-dire, Incarner ou Interpréter un Personnage imaginaire dans un univers et un contexte déterminés. Les univers sont aussi vastes que l'imagination, qu'ils soient connus (Star Wars, notre monde...) ou totalement originaux. Quant à la manière de pratiquer du Jeu de Rôle, elle varie selon les supports, même si on retrouve le point commun, la définition du JDR: l'interprétation d'un personnage. C'est un peu comme si vous deveniez un héros ou le protagoniste d'une histoire, d'un film, d'une série dont la trame se fait au fur et à mesure des actions de votre personnage.

Le JDR puise ses sources dans le jeu sur table: des amis qui se retrouvent autour d'une table, avec un livre de règles et un maître de jeu. Sur internet, on retrouve le plus souvent deux manières de jouer: le JDR et l'Interprétation libre.

Le JDR s'inspire de celui pratiqué sur table. C'est à dire qu'on aura un système de jeu, souvent avec des lancers de dés, des fiches de personnages à remplir et un maître de jeu. Le maître de jeu est chargé de guider les joueurs dans l'univers. Il décrit l'environnement et les évènements qui arrivent aux personnages des joueurs. Le joueur décrit donc ses actions "exemple: Je tente de gifler cet homme qui m'a insulté", et le MJ (Maître de Jeu) lance les dés (représentation du hasard dans la vie), ajoute les capacités numériques du personnage au lancer et énonce le résultat: "exemple: Tu y parviens mais tu t'aperçois que la peau de l'homme est faite d'une substance étrange." Une évolution des capacités du personnage est le plus souvent possible. Cependant, cette manière de jouer peut varier selon le système de jeu utilisé mais c'est la plus répandue.

L'Interprétation libre est le fait de jouer sans système de jeu, ni maître de jeu. C'est une variante située entre le jeu de rôle et le roman écrit à plusieurs.

Il ne faut cependant pas perdre de vue que le JDR reste un jeu et ne jamais prendre au premier degré ce que le personnage imaginaire d'un autre joueur fait ou dit puisque le joueur ne fait que jouer un personnage selon son imagination. Ce n'est donc pas représentatif de la réelle personnalité du joueur.

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.:: Faire des "bons" posts ::.

En bref : Ayant remarqué un complexe d'infériorité parmi les joueurs néophytes, vis à vis des posts qui font plus de 10 lignes, je leur donne ici une méthode simple d'en faire, sans passer par des études en littérature. ^^

Phase 1: Se mettre en ambiance

Le premier conseil que je pourrai donner aux joueurs, pour commencer en douceur, c'est de se mettre dans l'ambiance du forum. A l'oral -entre amis rôlistes-, quand on commence une partie de jeu de rôle, il y a toujours ce que j'appelle la phase d'adaptation. C'est à dire qu'on a besoin d'un certain temps pour se mettre dans le rôle de son personnage.

A l'écrit, il y a également besoin d'une phase d'adaptation. La méthode prend juste une forme différente par rapport à la voix du Maître de jeu: de la détente, du calme et de la musique. La musique aide à susciter des émotions en nous, ce qui permet de nous mettre dans l'ambiance dans laquelle se trouve le personnage - Musique triste s'il vit un moment dramatique, Musique "boîte de nuit" s'il se trouve dans un lieu festif... Faites vous une petite liste de différents types de musique qui vous inspire.

Phase 2: Se poser les bonnes questions

C'est l'étape la plus cruciale avant de rédiger. Où est ce que se trouve votre personnage? Dans quel type de lieu? Avec qui se trouve t'il? Que vient il de se passer?

Vous l'aurez compris, faire un post de plus de 10 lignes ne tient qu'à répondre à une série de questions. Hé non, pas besoin d'incantations mystérieuses, ni d'études en littérature prolongés pour pouvoir faire un "bon post". Mais avant, pour pouvoir répondre à ces questions correctement, il vous faudra certainement relire les posts précédents le vôtre. Parfois même 2-3 fois, c'est une façon aussi de vous permettre à bien visualiser la scène rp sans faire trop d'erreurs et aussi de se remettre dans l'ambiance.

En fait, il n'y a rien de bien difficile (en passant outre les questions sur l'orthographe et l'expression) mais cela demande du temps et de l'attention. Ne vous étonnez pas que vos posts ne tiennent pas la route si vous avez l'habitude de lire en diagonale (à la va vite). Il s'agit d'un jeu de rôle après tout, ne soyez pas aussi empressé que dans un jeu vidéo. De plus, vos partenaires de jeu apprécieront de voir que vous avez bien lu leurs posts. Vous aimez qu'on lise bien vos posts, non?

Mais comme il n'est pas facile de savoir quels types de questions il faut se poser, j'expose ci-dessous de quoi vous inspirer. Ce sont les 4 thématiques qui me paraissent le plus important dans une situation rp, à savoir: L'environnement, Les émotions de votre personnage, Ses Partenaires RPs et enfin ses Actions. Avec ces thématiques, je mets des exemples de questions et un exemple de texte en italique et entre parenthèses. Attention, je tiens à souligner que ce ne sont que des exemples.

  • L'environnement/Le Lieu/Le Contexte -Où est se trouve votre personnage? Est il dans une pièce? Fait il chaud, froid? Y'a t'il beaucoup de bruit, du vent peut-être? (Pour un début de RP: Antoine regarda l'imposant bâtiment, il lui paraissait grand, lugubre. Le froid mordait sa peau malgré son anorak. Il entendait derrière lui Justine qui soupirait. Il sentait presque son souffle dans sa nuque. - Les rappels en cours de rp sur votre environnement, comme les sons, les bruits ou les lumières que subissent votre personnage donnent des descriptions très intéressantes sur ce qu'il vit. Nous sommes toujours influencés par notre environnement.)

  • Son émotion-Dans quel état se trouve t'il? Est il triste, joyeux? En colère? Ou Neutre? Pourquoi se trouve t'il ainsi? (Il commençait à en avoir assez, le dernier mot de Justine eut le don de lui donner envie de la gifler. Il voulait autant qu'elle retrouver Mathilda, mais il était fatigué et las. Le temps passé à chercher et les messages du kidnappeur avaient durement éprouvés ses nerfs - Essayez de vous mettre à la place de votre personnage, n'hésitez pas à faire appel à vos souvenirs de situations émotionnelles proches du rp pour donner du réalisme à ses sentiments)

  • Les Partenaires RP-Avec qui est il? Quels sont les gestes, les expressions de son ou ses interlocuteurs? (Antoine se retourna alors vers Justine, prêt à lui dire de la fermer quand il s'aperçut de la détresse de cette dernière. Elle se frottait les bras pour se protéger du froid, mais cela ne faisait que renforcer l'air désespéré qu'elle lui lançait. - N'hésitez pas à vous baser sur les posts de vos interlocuteurs mais aussi à ne prendre que les informations que retient votre personnage. Même s'il y a 5 personnes dans un bar, si elles sont toutes à des tables différentes, peut-être notera t'il plus une personne que l'autre. Peut-être captera t'il plus son regard que son geste, etc...)

  • Ses actions - Même si votre personnage n'a rien d'autre à faire que de parler à un autre personnage, pensez toujours qu'on a tous un langage corporel, des tics ou des habitudes. Le ton de la voix compte également dans une conversation (-Je suis désolé... lâcha finalement Antoine en se frottant la nuque, gêné. Justine allait certainement le prendre pour fou mais il se sentait coupable de ses propres pensées. Il se mordit la lèvre inférieure et il avait du mal à décrocher sa main de sa nuque. Et plus il avait du mal, plus il se sentait honteux de s'être emporter mentalement.)

Petits Rappels et petits Détails

Qu'avons nous donc retenu de tout cela? Il faut:

  • Évincer déjà la sensation que faire un bon post n'est accessible qu'à une élite divine, jugée sur un piédestal. Vous aussi (si si), vous pouvez faire des bons posts.

  • Se détendre et se mettre dans l'ambiance de votre situation rp avec des musiques appropriées, une bonne boisson posée à côté de votre clavier.

  • Relire les posts précédents pour vous rappeler ce qui s'est exactement passé, 2-3 fois si vous pensez que vous avez oublier quelque chose. En rédigeant, vous ne devez pas hésiter à y chercher les détails qui vous manquent.

  • Vous poser des questions sur tout ce qui arrive à votre personnage. Les réponses vous aideront à faire un post complet, et donc de plus de 10 lignes.

  • Vous relire est évidemment un indispensable. Ne faites pas de phrases trop longues qui seraient dures à lire. Vous relire oralement vous permet vite de savoir si votre post est viable ou si vous vous emmêlez la langue au bout de 2 secondes.

  • Prendre de quoi fêter votre premier bon post et hurler "Yes I can" devant votre écran. (Toute autre exclamation de joie/jubilation est également possible)

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Quelques règles d’orthographe de base

Par Ebene Graymes

On confond facilement plusieurs écritures ou plusieurs conjugaisons à cause de leur phonétique : ce et se se prononcent de la même manière ; pratiquer et pratiqué aussi. Les dégâts causés par l’usage de langages approximatifs tels que le FoNéTiK ou le SMS n’ont fait qu’empirer la difficulté en déshabituant leurs adeptes de la grammaire correcte. Il n’y a qu’un seul moyen d’éviter la catastrophe orthographique, c’est prêter attention à ce que l’on dit, et vérifier en utilisant ses notions de grammaire française… à moins de trouver des moyens mnémotechniques de vérifier. Voici quelques astuces pour y parvenir.

1. Entre ce et se

«Ce» est un déterminant démonstratif, c'est-à-dire qu’il sert à désigner quelque chose qu’on pointe du doigt : CE chien là a mordu grand-mère. Il est donc en conséquent devant un nom commun (très rarement devant un nom propre, bien que cet usage existe aussi). On peut le vérifier en insistant sur le sujet : c’est CE chien là, celui-là, pas un autre, qui a mordu grand-mère.

« Se » ou «S’… » est toujours associé à un verbe. Il sert à indiquer que le sujet fait l’action sur lui-même, et pas sur une autre personne : il a donc les fonctions de complément direct du verbe (complément d’objet direct). Un exemple : Il SE lave tous les trois mois. Pour le remplacer, il suffit de remplacer la personne : tu TE laves tous les trois mois.

2. Entre ça et sa

«Ça » est en fait la forme contractée, l’abréviation de « cela » : ça va bien = cela va bien. Bien que l’utilisation qu’on fasse de cela soit de plus en plus trouvée désuète, elle demeure bien pratique pour s’assurer que l’on ne fait pas de faute d’orthographe dedans. Donc pour remplacer ça, il suffit de mettre cela, et le tour est joué.

« Sa » est le pronom possessif du féminin. Il sert donc à désigner quelque chose qui appartient à quelqu’un, cette chose étant de genre féminin : c’est la robe de Valentine -> c’est SA robe. C’est la chienne de Jacques -> c’est SA chienne. Pour le remplacer, il suffit de changer la personne : cette guitare est à moi -> c’est MA guitare.

3. Tous et tout

«Tous » désigne plusieurs objets ou personnes, c’est donc un pluriel : tous les jours, tous les hommes, tous les chiens du village… Il est difficile de le remplacer mais on peut ajouter un démonstratif pour s’assurer ou non du pluriel : tous ceux-là, tous les chiens du village.

«Tout » désigne une entièreté au singulier : tout le temps, tout le monde, tout le jour… Il est impossible de remplacer « tout » par autre chose, mais il suffit de vérifier le cas du complément : si c’est un singulier, écrivez tout avec t. Si c’est un pluriel, écrivez tous avec s.

4. Ou et où

«Ou » désigne un choix entre deux possibilités (ou plus, bien entendu) : je prendrais une glace au chocolat ou une glace à la vanille. Pour s’assurer de son orthographe, il suffit de le remplacer par « ou bien » : je prendrais une glace au chocolat ou bien une glace à la vanille.

«Où » désigne un lieu : où va-t-il ? Pour s’assurer de son orthographe, il suffit de répondre à la question (si c’en est une) : il va là-bas, il va à Paris, il va à Tombouctou… Ou il suffit de vérifier si l’on parle d’un lieu ou d’un choix ! La différence est évidente.

5. Sept, cet et cette

Trois mots totalement différents qui se prononcent de la même manière… Commençons par le plus évident.

«Sept » est un nombre, ou un déterminant. Il est donc invariable et ne s’utilise que lorsque l’on veut parler de 7 choses ou de 7 personnes.

«Cet » est un démonstratif masculin (eh oui !), variante de ce. On ne l’utilise que pour faire la liaison entre le [e] de ce et la première lettre du mot masculin, qui est donc une voyelle ou un h doux. C’est pourquoi on écrit cet arbre ou cet homme. Pour s’en assurer, vérifiez le cet par celui-là : cet arbre, celui-là. Cet homme, celui-là.

«Cette » est le féminin de ce/cet. On l’utilise pour tous les noms féminins à désigner : cette femme, cette horloge. Il suffit de le vérifier par celle-là : cette femme, celle-là. Cette horloge, celle-là.

6. A, ah et à

«A » est la forme conjuguée du verbe avoir mise à la troisième personne du singulier. Il n’est utilisé que dans cette situation là : il a un chien.

« Ah ! » est une exclamation de surprise ou de compréhension : ah bon, ah oui !

Quant à « à », il est utilisé dans toutes les autre situations : il peut très bien désigner une appartenance (cette bague appartient à Marie), une destination (il va à Londres) vers un lieu ou vers une personne (un don par exemple), un usage (un lit, ça sert à dormir).

7. C’est, s’est, ces, ses

Encore des formes difficiles à distinguer !

Commençons par la plus fréquente, « c’est ». Il s’agit d’un groupe verbal à utilité démonstrative : c’est un traître ! On peut le remplacer par cela est ou ça est, ou encore par Il/elle/on est : il est un traître !

« S’est » est une autre paire de manches. Il s’agit de la troisième personne du singulier de certains verbes : il s’est suicidé. On peut le remplacer en changeant la personne : tu t’es suicidé, je me suis suicidé.

« Ces » est un déterminant démonstratif pluriel : ces livres. On peut le vérifier en insistant sur le fait : « ces livres, ceux-là ». « Ses » est un déterminant possessif pluriel : ses oreillers. On peut le modifier en changeant la personne : tes oreillers, mes oreillers.

8. Participe passé et infinitif des verbes en –er

On les confond souvent, ceux là… et parfois, c’est pire car on y ajoute le futur simple de la première personne du singulier (je serai devient je seré ou je serer… sans parler des je serais, qui sont une confusion avec le conditionnel présent). Face à toutes ces orthographes différentes, il est temps de faire le point, et de le mettre sur le i.

8.1 Le participe passé

Il se termine en -é et pas en –er !!! Mais je l’admets, on peut confondre. Alors outre le fait qu’il se rapporte à un auxiliaire conjugué (être ou avoir), on peut le remplacer par une autre forme de participe passé de verbe ne se terminant pas en –er. Prenons donc le verbe vendre pour remplacer « donner » : « il a donné son chat » devient «il a vendu son chat » et pas « il a vendre son chat ».

8.2 L’infinitif

Il se termine en –er et pas en –é !!! Il ne se rapporte pas à un auxiliaire, mais sert à préciser l’action faite par le sujet. On n’écrira pas « il est allé bronzé » mais bien « il est allé bronzer ». Pour le remplacer, reprenons notre verbe vendre : dira-t-on « il est allé vendu » ou « il est allé vendre » ? La seconde solution, bien évidemment !

8.3 Les autres temps et les autres confusions

La première personne du singulier est la plus affectée, car son futur simple des verbes en –er se termine en –ai et se prononce –é ! Si tout le monde respectait la prononciation originelle, ça ne poserait pas de problème particulier, mais étant donné que l’on a tendance à le prononcer « je serè » et pas « je seré », on en vient à le confondre avec le conditionnel je serais, qui lui se prononce bien avec un –è final. Il faut donc vérifier à quel temps on parle ! On peut aussi changer la personne : « je serai » devient « tu seras » alors que « je serais » devient « tu serais ».

8.4 Les terminaisons usuelles de la conjugaison française

JeS E X I -> je serais -> je pense -> je peux -> je crierai
TuS X -> tu sais -> tu peux
Il/ Elle/ OnC A D E T -> il convainc -> il criera -> il prend -> il déchire -> il tirait
NousES ONS -> nous sommes -> nous prenons
VousES EZ -> vous êtes -> vous pleurez
Ils/ EllesENT-> ils partirent

Remarquez la manière d’agencer les trois premières terminaisons : elles forment chacune un mot. « Sexy », « S(e)x » et « cadet » !

9. L’accord de l’adverbe

-amment ou –emment ?

Un adverbe s’achève en –amment si son adjectif se termine en –ant : courant -> couramment. Il s’achève en –emment si son adjectif se termine en –ent : fréquent -> fréquemment.

10. L’accord de l’adjectif

L’adjectif se rapporte à un nom, il s’accorde donc avec celui-ci : un chien noir.

Si l’adjectif se rapporte à plusieurs noms (que ceux-ci soient au singulier ou au pluriel), il se met automatiquement au pluriel : le chien et le chat blancs. La règle du masculin qui l’emporte est aussi effective dans ce cas là, ce qui fait que si l’adjectif se rapporte à plusieurs noms dont un ou plusieurs au féminin, et au moins un au masculin, il sera accordé au masculin pluriel.

Si plusieurs adjectifs se rapportent à un même nom, ces adjectifs restent au singulier : les langues française et italienne.

Enfin, si l’adjectif se rapporte à des noms synonymes ou à des noms en gradation (augmentation ou diminution), il reste au singulier : une colère, une rage peu commune hantaient monsieur Dupond.

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